Tout savoir sur le canard ?!
Magret, rillettes, foie gras, gésiers : TOUT est bon dans le canard. Et on ne va pas se mentir tout est encore meilleur accompagné d’un petit verre de vin. Voici quelques astuces pour bien l’acheter, le cuisiner et, bien sûr, l’accorder aux vins.

Au commencement du miel -vous le savez sans doute déjà- il y a les abeilles. C’est elles, qui en butinant vont venir déposer le pollen sur le pistil des plantes et ainsi les aider à se reproduire, donc les « polliniser ». Ces insectes sont ainsi essentiels pour la reproduction des fleurs et des autres espèces végétales. En butinant, les abeilles vont aussi pomper dans les fleurs mellifères un nectar sucré et sur les feuilles le miellat : deux substances qu’elles vont conserver bien au chaud dans leur jabot : la poche située au niveau de leur œsophage. De retour dans la ruche, les abeilles vont ensuite se passer ce mélange d’un jabot à l’autre, cet échange va venir enrichir le nectar et le concentrer jusqu’à en faire du miel. Jusqu’à preuve du contraire, le vrai miel ne peut pas se fabriquer sans abeilles. En revanche, c’est l’apiculteur qui va s’occuper de leur bonne santé, de ses ruches, et -chose primordiale- c’est lui qui va récolter le miel.
Depuis quelques années on entend parler d’abeilles en danger. L’association Greenpeace estime que les populations d’abeilles domestiques ont chuté de 25 % en Europe entre 1985 et 2005. Plusieurs facteurs expliquent ce problème, notamment l’utilisation de pesticides et d’insecticides. On estime que l’abeille butineuse doit travailler 200 jours et butiner 800 000 fleurs pour produire un kilo de miel. L’achat du miel, fruit de leur travail fastidieux, n’est donc pas un acte à prendre à la légère ! Voilà donc nos quelques conseils pour vous repérer.

Au commencement du miel -vous le savez sans doute déjà- il y a les abeilles. C’est elles, qui en butinant vont venir déposer le pollen sur le pistil des plantes et ainsi les aider à se reproduire, donc les « polliniser ». Ces insectes sont ainsi essentiels pour la reproduction des fleurs et des autres espèces végétales. En butinant, les abeilles vont aussi pomper dans les fleurs mellifères un nectar sucré et sur les feuilles le miellat : deux substances qu’elles vont conserver bien au chaud dans leur jabot : la poche située au niveau de leur œsophage. De retour dans la ruche, les abeilles vont ensuite se passer ce mélange d’un jabot à l’autre, cet échange va venir enrichir le nectar et le concentrer jusqu’à en faire du miel. Jusqu’à preuve du contraire, le vrai miel ne peut pas se fabriquer sans abeilles. En revanche, c’est l’apiculteur qui va s’occuper de leur bonne santé, de ses ruches, et -chose primordiale- c’est lui qui va récolter le miel.
Depuis quelques années on entend parler d’abeilles en danger. L’association Greenpeace estime que les populations d’abeilles domestiques ont chuté de 25 % en Europe entre 1985 et 2005. Plusieurs facteurs expliquent ce problème, notamment l’utilisation de pesticides et d’insecticides. On estime que l’abeille butineuse doit travailler 200 jours et butiner 800 000 fleurs pour produire un kilo de miel. L’achat du miel, fruit de leur travail fastidieux, n’est donc pas un acte à prendre à la légère ! Voilà donc nos quelques conseils pour vous repérer.
Au commencement du miel -vous le savez sans doute déjà- il y a les abeilles. C’est elles, qui en butinant vont venir déposer le pollen sur le pistil des plantes et ainsi les aider à se reproduire, donc les « polliniser ». Ces insectes sont ainsi essentiels pour la reproduction des fleurs et des autres espèces végétales. En butinant, les abeilles vont aussi pomper dans les fleurs mellifères un nectar sucré et sur les feuilles le miellat : deux substances qu’elles vont conserver bien au chaud dans leur jabot : la poche située au niveau de leur œsophage. De retour dans la ruche, les abeilles vont ensuite se passer ce mélange d’un jabot à l’autre, cet échange va venir enrichir le nectar et le concentrer jusqu’à en faire du miel. Jusqu’à preuve du contraire, le vrai miel ne peut pas se fabriquer sans abeilles. En revanche, c’est l’apiculteur qui va s’occuper de leur bonne santé, de ses ruches, et -chose primordiale- c’est lui qui va récolter le miel.
Depuis quelques années on entend parler d’abeilles en danger. L’association Greenpeace estime que les populations d’abeilles domestiques ont chuté de 25 % en Europe entre 1985 et 2005. Plusieurs facteurs expliquent ce problème, notamment l’utilisation de pesticides et d’insecticides. On estime que l’abeille butineuse doit travailler 200 jours et butiner 800 000 fleurs pour produire un kilo de miel. L’achat du miel, fruit de leur travail fastidieux, n’est donc pas un acte à prendre à la légère ! Voilà donc nos quelques conseils pour vous repérer.
Au commencement du miel -vous le savez sans doute déjà- il y a les abeilles. C’est elles, qui en butinant vont venir déposer le pollen sur le pistil des plantes et ainsi les aider à se reproduire, donc les « polliniser ». Ces insectes sont ainsi essentiels pour la reproduction des fleurs et des autres espèces végétales. En butinant, les abeilles vont aussi pomper dans les fleurs mellifères un nectar sucré et sur les feuilles le miellat : deux substances qu’elles vont conserver bien au chaud dans leur jabot : la poche située au niveau de leur œsophage. De retour dans la ruche, les abeilles vont ensuite se passer ce mélange d’un jabot à l’autre, cet échange va venir enrichir le nectar et le concentrer jusqu’à en faire du miel. Jusqu’à preuve du contraire, le vrai miel ne peut pas se fabriquer sans abeilles. En revanche, c’est l’apiculteur qui va s’occuper de leur bonne santé, de ses ruches, et -chose primordiale- c’est lui qui va récolter le miel.
Depuis quelques années on entend parler d’abeilles en danger. L’association Greenpeace estime que les populations d’abeilles domestiques ont chuté de 25 % en Europe entre 1985 et 2005. Plusieurs facteurs expliquent ce problème, notamment l’utilisation de pesticides et d’insecticides. On estime que l’abeille butineuse doit travailler 200 jours et butiner 800 000 fleurs pour produire un kilo de miel. L’achat du miel, fruit de leur travail fastidieux, n’est donc pas un acte à prendre à la légère ! Voilà donc nos quelques conseils pour vous repérer.
La ferme des trois lagunes, Pierre l’a toujours connue “ C’est une exploitation familiale, créée par mon grand-père et mon père. Ils sont descendus de l’Aisne dans les années 60-70 quand mon père avait 16 ans. Je me suis installé en 2007 puis salarié en 2012” nous explique-t-fdfdgfgdsitués à Saint-Laurent-Médoc, la famille cultive du maïs et du blé vendus essentiellement en gros pour l'alimentation animale et aussi un peu en vente directe pour les particuliers.
Dans un monde agricole en pleine évolution, où la concurrence est devenue internationale, Aurélie et Pierre réfléchissent il y a quelques années à d’autres débouchés. “Depuis quelques années le prix de revient de nos céréales paye uniquement nos charges, on a donc réfléchi à un autre modèle pour se diversifier sans arrêter le premier pour autant” explique l'agriculteur. Après avoir pensé à la bière ou au whisky, le couple tranche finalement pour le blé et les pâtes : les agriculteurs vont donc devenir aussi meuniers et pastiers.
Pour fabriquer ses produits maison, pas besoin d’aller très loin : Pierre utilise le blé qu’il cultive “je garde les meilleures parcelles”. Le blé est semé entre le 15 octobre et le 15 novembre puis récolté en juillet. Une fois ramassé, il est stocké et ventilé pour être bien conservé, il est ensuite passé dans un séparateur pour retirer morceaux de pailles et poussière, puis dans une brosse à grain qui va le nettoyer une dernière fois. Le blé est enfin tamisé dans un moulin trois fois pour devenir de la farine entre T 65 et 85 “une sorte de farine semi-complète” précise-t-il.
C’est avec cette farine et de l’eau uniquement que les pastiers vont ensuite fabriquer les pâtes de blé tendre dans une sorte de pétrin à l’horizontal : fusilli, tagliatelles et coquillettes natures mais aussi des versions au curry et au piment d’Espelette ! “ Le goût de blé est très prononcé explique Pierre : rien a rien à voir avec ce que vous trouvez au supermarché où les pâtes sont souvent fabriquées à partir de semoule de blé dur”. La clientèle aime tellement qu’Aurélie et Pierre ont dû acheter un nouveau moulin pour répondre aux demandes. Ils comptent se mettre à la farine de maïs et planter du sarrasin cette année “pour que les clients puissent se préparer des galettes bretonnes !” s'enthousiasment-ils.
Et en fait ces pâtes on les cuisine comment ? “Avec du beurre dedans, il n’y a besoin de rien de plus” déclare Pierre. De quoi se régaler ET ne pas trop s’embêter avec la charge mentale ! Bon, nous on aime bien le beurre mais on vous donne quand même notre recette italienne préférée (presque aussi simple que celle de Pierre...)